24 Heures du Mans – Le confort au service des pilotes et de leurs performances
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24 Heures du Mans – Le confort au service des pilotes et de leurs performances

Aux 24 Heures du Mans, le confort dans les voitures est une des clés de la réussite. Entendons-nous bien, le cockpit d’une voiture d’endurance n’est pas cosy mais tout est ajusté pour permettre aux pilotes de se concentrer uniquement sur leur pilotage. Dans ce domaine aussi, les réglages sont donc peaufinés jusqu’au warm-up, ultime séance d’essais avant la course.

Aux 24 Heures du Mans, une voiture confortable à piloter c’est d’abord une voiture capable d’être performante sans que le pilote ait besoin de prendre de risques. C’est aussi une voiture agile dans le trafic et qui conserve le même équilibre quelles que soient les conditions.
Pour rendre une voiture saine, les ingénieurs jouent sur les réglages et plus particulièrement la dureté des amortisseurs ainsi que la barre anti-roulis, un élément de suspension qui relie les deux roues d’un même essieu.

Grâce à la vidéo 360° ci-dessous, embarquez dans la Porsche 911 RSR de Porsche GT Team et rendez-vous compte des conditions de pilotage.

Dans une auto, l’outil le plus lié à la notion de confort d’assise, c’est le siège baquet. Il est fabriqué sur mesure pour les pilotes qui le glissent dans le siège standard au moment de prendre place dans l’habitacle. Certains ajoutent simplement à un baquet collectif fait aux mesures du plus grand gabarit de l’équipage des « chips » qui leur permettent de se rapprocher des pédales pour plus de confort. « Avec mes coéquipiers nous avons des largeurs très différentes. L’endurance est faite de compromis et c’est ce qui fait un bon team ou pas », souligne Neel Jani, pilote de la Porsche 911 RSR-19 #92 de Porsche GT Team.

Aujourd’hui, lorsqu’une marque construit une voiture pour les 24 Heures du Mans, elle doit prendre en compte l’ergonomie de l’habitacle et des éléments qui le composent. Le poste de pilotage fait l’objet d’une attention particulière. La multiplication des commandes à disposition des pilotes exige de leur part beaucoup de dextérité et de rapidité d’exécution. S’ils ressentent des secousses, des vibrations ou sont mal assis, ils n’auront pas la même efficacité et la fatigue les gagnera plus vite… exactement comme sur la route des vacances !

Nicolas Lapierre, pilote de l’Alpine A470-Gibson #36 d’Alpine Elf Matmut vous dit tout sur le siège baquet :

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