Eric Hélary, vainqueur des 24 Heures du Mans 1993, se fait plaisir au Mans Classic
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Eric Hélary, vainqueur des 24 Heures du Mans 1993, se fait plaisir au Mans Classic

Eric Hélary compte 11 participations aux 24 Heures du Mans avec comme point culminant, sa victoire en 1993 au volant d'une Peugeot 905 en compagnie de Christophe Bouchut et Geoff Brabham. Cette année, en amoureux des vieilles voitures qu'il est, il ne pouvait pas rater Le Mans Classic.

Eric Hélary compte 11 participations aux 24 Heures du Mans avec comme point cuminant, sa victoire en 1993 au volant d'une Peugeot 905 en compagnie de Christophe Bouchut et Geoff Brabham. Cette année, en amoureux des vieilles voitures qu'il est, il ne pouvait pas rater Le Mans Classic.

Eric Hélary est le type de pilote « passionné » et c’est toujours un régal de pouvoir converser avec lui. Cette année, il participe bien entendu au Mans Classic et ne cache pas son plaisir. « J’adore Le Mans Classic mais c’est quelque chose qu’il ne faut pas essayer de faire en voulant gagner ou en se rapprochant de la limite. Les voitures sont quand même anciennes. Ce week-end, je pilote une Corvette Chevrolet C3 de 1970 et une Porsche 935 K3. »

A entendre l’ancien vainqueur des 24 Heures du Mans, les deux voitures qu’il pilote ce weekend sont très agréables à piloter. La première est donc une Corvette engagée dans le plateau 5 (1966 – 1971). « Quand je freine avec la Corvette, je prends quasiment toute la largeur de la piste. C’est aussi une voiture sympa à piloter. J’arrive à monter jusqu’à 265 km/h et elle est équipée de freins de Fiat 500 de 1960. C’est sportif. »

Dans le plateau 6 (1972 – 1981), il est au volant d’une « Porsche 935 K3 qui est une voiture formidable, Cela fait à peu prés 800 chevaux. Ce n’est que du bonheur. Il y a une boîte quatre vitesses et lorsque l’on met la 4e, ca pousse, ca pousse. On n’a l’impression que cela ne s’arrête jamais. »

Eric Hélary reste cependant prudent en piste comme il le confirme : « La différence avec Les 24 Heures du Mans, c’est qu’ici il y a beaucoup de pilotes purement amateurs. Quand je double, je dois être très vigilant pour être bien sûr que l’on m’a vu. Les voitures sont difficiles à piloter. C’est plus une parade qu’une course. En tout cas, Le Mans Classic est quelque chose de formidable, il y a presqu’autant de monde qu’aux 24 Heures du Mans. »

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