Interview décalée : Ludovic Badey
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Interview décalée : Ludovic Badey

Il aime les p

C’est l’un des grands malchanceux de l’édition 2013 : alors qu’il occupait la 6e place de sa classe (LM P2) le dimanche à 13 h 45, Ludovic Badey se faisait piéger par l’ultime averse peu après le virage d’Arnage… La Oreca n°46 partait en aquaplaning et heurtait le rail : direction cassée, abandon. Oui, les 24 Heures du Mans sont parfois ingrates.

 
  Ludovic Badey (au centre), en compagnie de ses équipiers Maxime Martin (à gauche) et Pierre Thiriet (à droite).
 
  Ludovic Badey finira sa course peu après le virage d'Arnage.

Né le ?
23 avril 1980 à Lyon.

Rêve d'enfant ?
Etre pilote automobile.

Plus grande fierté ?
Ma famille, en particulier mon épouse, mon fils et mes parents

Plus grand regret ?
N’avoir démarré le karting qu’à 16 ans.

Une qualité ?
Attaquant !

… Et un défaut ?
Trop exclusif parfois.

Une devise ?
Le travail paye toujours.

Un livre ?
AUTOhebdo.

Un plat préféré ?
Les pâtes au comté.

Un hobby ?
Le ski.

Prochaine destination de vacances ?
Je ne sais pas encore…

Sportif qui vous inspire ?
Fernando Alonso.

Voiture de route préférée ?
La Ferrari Enzo.

Circuit préféré ?
Spa-Francorchamps.

Comment vous voyez-vous dans 10 ans ?
Toujours pilote, au départ des plus belles courses de 24 heures.

Premières 24 Heures du Mans ?
En 2012 avec Gulf Racing Middle East (Lola - Nissan).

Portion préférée ?
La nouvelle portion.

Moment préféré ?
La présentation des équipes sur la ligne droite avant le départ.

Meilleur souvenir ?
Le départ en 2012.

Une voiture historique ?
Toutes, mais elles sont trop belles pour les faire rouler.

Un ancien vainqueur comme équipier ?
Tom Kristensen pour son expérience.

Julien HERGAULT / ACO

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