Essais libres 1 : Toyota Gazoo Racing à l’aise dans son jardin
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Essais libres 1 : Toyota Gazoo Racing à l’aise dans son jardin

Les Toyota GR010-Hybrid se sont montrées à leur avantage dans une première séance d’essais marquée par deux interruptions et de nombreux ralentissements.

Le Grand Marshal Kazuki Nakajima (triple vainqueur de 2018 à 2020) a sorti le drapeau vert à 14 heures ce mercredi, ouvrant ainsi la piste aux acteurs de la 92e édition des 24 Heures du Mans. C’est par trois heures de travail que commence l’épreuve de l’année pour les 62 concurrents. Une première séance d’essais libres qui doit permettre aux équipes de se mettre au point avant les qualifications et la course. Les team managers veillent à donner du temps de roulage à chacun des trois pilotes de leurs équipages et les techniciens résolvent les derniers problèmes quand les ingénieurs dictent la marche à suivre. Les pilotes aussi sont à l’ouvrage. Ils ajustent leurs repères de freinage, visent les points de corde et flirtent avec les limites de la piste. Parfois à l’excès : Rodrigo Sales (Oreca 07-Gibson #65 de Panis Racing) et Carl Wattana Bennett (Isotta Fraschini Tipo6-C #11) partent successivement en tête-à-queue à la chicane Dunlop. Ben Keating (Oreca 07-Gibson #23 de United Autosports USA) tire tout droit à l’entrée des virages Porsche. Tous ces incidents sont sans conséquences notables. La Porche 963 #5 et la Lamborghini passent beaucoup de temps dans leurs stands dans la première heure. L’ensemble des problèmes techniques ne sont pas réglés puisque le drapeau rouge est agité à la mi-séance quand l’Alpine #35 et la Lexus #78 sont arrêtées à deux endroits de la piste.

À la relance, il est temps de mettre les bouchées doubles. Les équipes Hypercar vont bientôt faire tomber les chronos pour se préparer à la première séance de qualifications qui débutera à 19 heures. Alerte sur la Peugeot #94 : la voiture pilotée par Loïc Duval rentre aux stands, visiblement en proie à des problèmes moteur. Elle repart après quelques minutes d’intervention. Le chrono signé en début de séance par Callum Illott tient toujours à une heure de la fin de séance (Porsche 963 #12 Hertz Team JOTA en 3’26’’610). Son équipier, le Français Norman Nato, passe à l’attaque et fait sauter une quille délimitant le S de la Forêt. Brendon Hartley redonne l'avantage au prototype Toyota, toujours à l'aise sur le grand circuit des 24 Heures. Alex Lynn (Cadillac V-Series.R #2) part à la faute à l’entrée des Hunaudières et provoque un second drapeau rouge à 20 minutes du terme de la séance.

"Nous sommes là pour apprendre, pour observer, nous avons plein d’interrogations à lever."
Nicolas Lapierre (Alpine A424 #36 Alpine Endurance Team)

Dans les tous derniers instants, Dries Vanthoor, Callum Illott ou Julien Andlauer sont en amélioration mais aucun ne parvient au niveau de la Toyota #8. Parmi les 23 engagés en LMGT3, les McLaren 720 S #70 et #59 dominent la séance, ayant signé rapidement des temps inférieurs à 3’59’’. Esteban Masson surprend son monde au volant de la Lexus RC F LMGT3 #87 : il améliore la marque de quasiment une seconde sous le drapeau à damier ! En LMP2, l’ Oreca 07 - Gibson # 14 AO by TF s’est montrée la plus rapide devant la #30 de Duqueine Team et la #23 de United Autosports USA.

Les meilleurs de temps de la première séance d’essais libres :

  • Hypercar : Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing, 3’26’’013
  • LMP2 : Oreca 07 - Gibson # 14 AO by TF, 3’34’’245
  • LMGT3 : Lexus RC F LMGT3 #87 Akkodis ASP Team, 3’57’’808
  • Les Peugeot sont restées dans l'ombre au cours de la première séance d'essais libres.
  • Les concurrents ont retrouvé les sensations uniques de la ligne droite des Hunaudières.
  • Les premiers essais, c'est aussi l'occasion de reprendre les bons réflexes dans la gestion du trafic.
  • Les Peugeot sont restées dans l'ombre au cours de la première séance d'essais libres.
  • Les concurrents ont retrouvé les sensations uniques de la ligne droite des Hunaudières.
  • Les premiers essais, c'est aussi l'occasion de reprendre les bons réflexes dans la gestion du trafic.
  • Les Peugeot sont restées dans l'ombre au cours de la première séance d'essais libres.
  • Les concurrents ont retrouvé les sensations uniques de la ligne droite des Hunaudières.
  • Les premiers essais, c'est aussi l'occasion de reprendre les bons réflexes dans la gestion du trafic.
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Les Peugeot sont restées dans l'ombre au cours de la première séance d'essais libres.

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